Dette privée, dette publique

Il se peut que ce chiffre soit trop élevé, mais la réelle question est que ce rapport est encore plus élevé parmi les individus plus formés et accomplis, dont les activités peuvent être économiquement et socialement inutiles, sinon dommageables.Elle a les yeux rivés sur le tiroir-caisse.Les experts ont avancé plusieurs pistes en ce sens, notamment le développement de la concurrence ainsi que l’essor de moyens électroniques pour réaliser ces transferts.La demande mondiale, ne peut augmenter au rythme de l’offre mondiale, et donc nous sommes entrés, dès le début de la mondialisation, dans une crise potentielle de surproduction.Hélas, ce rétrécissement du champ d’action de l’Etat – préalable incontournable à la dérégulation de la finance -, accouche depuis trente ans de crises bancaires et boursières à répétition.Les sages-femmes se disent oubliées dans les discussions sur la préparation de la loi de santé.L’existence des réseaux de transport des données et de standards techniques communs est fondamentale pour le développement de ce marché.Pour sa part, l’Union européenne a décrété pouvoir s’en tirer sans artifices monétaires, totalement indifférente à la plus grave récession depuis la seconde guerre mondiale. Même dans ce cadre, comme l’exprime avec justesse le rapport de Antonio Fiori « l’influence sur les règles et normes internationales, c’est-à-dire sur les règles du jeu économique, est une composante essentielle quoique peu visible de la compétitivité des entreprises et des États.La Commission européenne a de son côté évalué que l’alimentation était le poste de consommation en Europe qui contribuait le plus à un certain nombre d’impacts environnementaux.Adoptée en 2011 par l’assemblée générale de l’Onu pour sensibiliser l’état et la société civile à la recherche de politiques privilégiant le bien-être citoyen.Une performance durable?

La question est de savoir si cette performance peut être maintenue.Beaucoup sont partis à la retraite, d’autres ont été licenciés et ceux qui ont été gardés l’ont été parce qu’au Japon l’entreprise tient un rôle social important.On estime la valeur des services à 40 milliards d’euros de PIB dans les pays émergents dans les dix années à venir.Pour éclairer ce débat, l’Ademe a mis sur la table un scénario à double horizon, 2030 et 2050, qui permet une diminution de notre empreinte environnementale et de notre consommation d’énergie, sans tomber dans le spectre de la décroissance.Il s’agit d’autant de développements qui ont amené les observateurs à estimer que dans un environnement de soulèvements dans les pays arabes, le Maroc s’est inscrit dans une logique d’évolution plutôt que de révolution.Néanmoins, il serait peut être temps de penser que les salariés peuvent avoir des idées, qu’ils peuvent s’organiser dès lors que les objectifs qui leur sont fixés sont clairs et réalisables.